Pour vous la remarque de Paul était anodine et sans intention de nuire. Difficile dans ce cas de la condamner. De plus comment savoir ce qui se passe dans la vie de chaque collaborateur ou collaboratrice… ?

Cependant, bien que l’origine de la situation soit peut-être un malentendu, l'une des deux personnes concernées en a souffert. Au regard de la loi, la priorité est de protéger cette personne.

Dans les relations entre collègues, il est donc important de se demander comment une remarque personnelle, même un compliment, sera perçue par la personne qui la reçoit, afin d’éviter de provoquer ou aggraver un malaise.

Vous hésitez… mais vous pensez au final que la remarque de Paul était anodine et donc pourquoi la condamner ?

Cependant, bien que l’origine de la situation soit peut-être un malentendu, l'une des deux personnes concernées en a souffert. Au regard de la loi, la priorité est de protéger cette personne.

Dans les relations entre collègues, il est important de se demander comment une remarque personnelle, même un compliment, sera perçue par la personne qui la reçoit, afin d’éviter de provoquer ou aggraver un malaise.

Vous hésitez... mais vous pensez au final que la remarque de Paul était déplacée.

Bien que l’origine de la situation soit peut-être un malentendu, l'une des deux personnes concernées en a souffert. Au regard de la loi, la priorité est de protéger cette personne.

Dans les relations entre collègues, il est important de se demander comment une remarque personnelle, même un compliment, sera perçue par la personne qui la reçoit, afin d’éviter de provoquer ou aggraver un malaise.

Pour vous c'est clair. Bien que l’origine de la situation soit peut être un malentendu, l'une des deux personnes concernées en a souffert. La remarque était donc déplacée.

Au regard de la loi, la priorité est de protéger cette personne.

Dans les relations entre collègues, il est important de se demander comment une remarque personnelle, même un compliment, sera perçue par la personne qui la reçoit, afin d’éviter de provoquer ou aggraver un malaise.